"Jean-Luc Godard le définit comme un « Courteline revu par Brecht » quand Jean-Marie Straub voit en lui « le seul héritier à la fois de Buñuel et de Tati ». D’autres encore on dit de Luc Moullet qu’il était le seul cinéaste burlesque de la Nouvelle Vague. C’est dire la singularité du cas Moullet et de son minimalisme saugrenu." Mathilde Blottière