1956, l'âge d'or de la cinéphile. L'Alcazar est un cinéma de quartier parisien où l'on voit aussi bien les films de Cottafavi que ceux d'Antonioni. La fine fleur de la critique s 'y croise, y cohabite.C'est ici qu'un rédacteur des Cahiers du cinéma et une rédactrice de Positif tombent amoureux...Seulement, voilà, la politique des auteurs, ce n 'est pas rien ! Et l'amour entre deux cinéphiles ne dépend pas uniquement de l'élan du coeur : il y a aussi le cinéma...