Farouk Arbid, mon oncle pourrait jouer un des personnages des Affranchis, sauf qu’il n’aime pas être filmé... Il reste dans l’ombre. Il aime cuisiner, recevoir les gens, les écouter parler de leurs problèmes et surtout leur rendre service. « C’est de la politique, il dit. Et pour faire de la politique, il faut se montrer généreux ». Je l’ai poursuivi dans son appartement de Beyrouth. Je n’ai pas pu trop l’approcher, mais j’ai le détail de ses recettes préférées…