Film provocateur ou, en tout cas, empreint de beaucoup d'humour, <i>Marilyn, Guy Lux et les nonnes</i> est une pochade qui a été le point de départ de Gérard Courant dans le septième art et qui fait se succéder et se rencontrer les trois figurants sur une bande sonore d'Elvis Presley.(Jaques Dutoit, Le Journal du Jura, 17 mars 1983)
Gênes est une ville complètement cinématographique et complètement romanesque : il existe la ville basse avec le centre-ville et le port et la ville haute. Les deux sont reliées par un funiculaire qui, en quelques minutes, nous fait passer d'un univers à un autre. Genova Genova est un chant d'amour à la ville de Gênes. Le film déambule dans les ruelles du centre de la ville, puis explore le magnifique cimetière pour ensuite grimper sur les hauteurs qui offrent un panorama étonnant sur la vieille ville traversée par une autoroute et le port. Unglee et Dominique Noguez, compagnons d'escapade dans cette ville où notre amie Ester de Miro, organisait un festival de cinéma, traversent joyeusement ce film qui ne se veut rien d'autre qu'un témoignage cinématographique de ma découverte de Gênes.(Gérard Courant)