Film provocateur ou, en tout cas, empreint de beaucoup d'humour, Marilyn, Guy Lux et les nonnes est une pochade qui a été le point de départ de Gérard Courant dans le septième art et qui fait se succéder et se rencontrer les trois figurants sur une bande sonore d'Elvis Presley.(Jaques Dutoit, Le Journal du Jura, 17 mars 1983)