Le 11 juin 1981, à Paris, Sagawa invite chez lui une jeune femme. Après lui avoir fait lire des poèmes devant un enregistreur, il la tue, la dépèce et la mange. Il prend ensuite des polaroïds.
Depuis leurs cellules, deux prisonniers arrivent à communiquer grâce à un trou percé dans le mur qui les sépare. Avec la complicité silencieuse du gardien qui les observe par le judas, ils vont établir un contact amoureux et érotique en utilisant divers objets tels qu'une cigarette, une paille.
Deux gosses de 40 ans piquent un maccabée pour rigoler ! Drôle de trio ! Et si la magie s'en mêlait ! L'amour n'était pas prévu. D'après une nouvelle de Charles Bukowski. Avertissement : ce film peut choquer la sensibilité de certains.
"L'Outrage aux mots" est un cri pour tenter de faire reculer la notion de censure, pardon de sensure : "Sensure avec un S initial" dit Bernard Noël, "pour indiquer la privation de sens et non la privation de parole".
Texte de Bernard Noël, lu par Jean-Louis Trintignant.
Le bel officier de la marine vient rendre visite à sa mousmé qui l'attend en usant de produits de remplacement avec une compagne. Il doit, pour arriver jusqu'à elle, rendre au gardien des appartements, un service d'ordre particulier.
Le passe-plats de la cuisine offre au cuisinier une vue imprenable sur les jeux intimes auxquels se livrent deux bonnes sœurs dans la salle à manger. Mais survient un moine dans son dos qui abuse de sa position.
Sœur Vaseline batifole avec le jardinier aux abords du couvent. Le seul film porno que Luis Bunuel consentit à voir. Il a raconté avoir eu
le projet d 'en organiser une projection pour les enfants.