Le cinéma expérimental de Stéphane Gérard se concentre sur les luttes politiques et l'histoire des représentations du genre, de l'orientation sexuelle, du VIH/sida et des personnes afrodescendantes (Rien n'oblige à répéter l'histoire, 2014, La Machine avalée, 2015, Entre garçons, 2018). Sa pratique intègre aussi l’installation (Mucem, Palais de Tokyo), la programmation (Black Archive), la distribution (What’s Your Flavor?) et une réflexion sur la préservation des archives audiovisuelles (BnF).