Née en France de parents polonais, Julia interroge à travers ses films son rapport à son pays d’origine, affinant sans cesse ses thèmes de prédilection : le milieu ouvrier, l’adolescence, la famille, la sexualité, alternant fictions et documentaires. J’ai vu le visage du Diable, à mi-chemin entre fiction et documentaire, raconte l’histoire folle d’une jeune Polonaise en proie à une crise de croyance.