Un, parfois deux...

Documentaire - 2016 - 52 min
Synopsis

Portrait du cinéaste Paul Vecchiali au travail. Portrait du cinéma en train de se faire, d’un monde en création, d’une tension vitale. Portrait d’un homme et d’un groupe en interaction En 2015, Paul Vecchiali tourne deux nouveaux films, poussant son système à son paroxysme — tournage avec son équipe familière, chez lui, dans une urgence vitale — tout en le pervertissant volontairement — particulièrement par la présence de stars peu coutumières de son cinéma. Laurent Achard — dont c’est le premier documentaire — observe la mécanique vecchialienne en silence, et pose discrètement la question essentielle de la place du cinéaste — celle de Vecchiali, la sienne propre — : d’où je regarde, d’où je construis (et parfois déconstruis) le monde. Ici, pas d’interviews, pas d’explication, et pourtant, en sortant du film, on sait avec certitude que le cinéaste en compagnie duquel on vient de passer une heure, est Paul Vecchiali : qu’est-ce qui fait l’unicité de chaque cinéaste, quelle chanson de geste(s) lui appartient ?

Réalisation
Équipe du film
Casting
Production