À Bruxelles, une Palestinienne, un Daghestanais, un Islandais et une Française se livrent à différentes performances mettant en jeu des histoires séculaires – chrétiennes notamment – dont l’imagerie a imprégné la culture occidentale. Par le biais de ces gestes et paroles d’emprunt, des récits personnels émergent qui disent l’éloignement de chacun à son environnement et à sa culture d’origine, rupture recherchée plutôt que subie, mais jamais complètement accomplie.