Dans Quad I, l'auteur renonce entièrement au texte parlé et utilise uniquement quatre percussions différentes au son desquelles quatre acteurs stressés se déplacent en courant selon un parcours imposé, comme dans une cour de prison. Au centre du carré, un point noir que les acteurs évitent anxieusement. Ni début, ni fin, comme s'il s'agissait d'une coupe quelconque dans un processus infini. Dans Quad II, 100000 ans plus tard selon Beckett, le costume des acteurs n'est plus coloré mais d'un blanc sale et les personnages épuisés se déplacent lentement au rythme implacable d'un métronome.