Pickpock est sous les verrous. Mais, plus insaisissable qu’Arsène Lupin, nulle chaîne ne lui résiste et il se joue des agents comme le chat d’une souris. Après les avoir roulés avec une réelle maestria, les avoir réduits en effigie, il les roule et les jette par la fenêtre. Mais les policiers reprennent vie et la chasse recommence. Pickpock, repris une seconde fois, enfermé sous de lourds barreaux, trouve encore moyen d’échapper aux agents qu’il emprisonne à sa place et s’en va tranquillement, les mains dans les poches.