«Alors je vais au Max's Kansas City et je vois le spectacle de Jack Smith, sa version actuelle de NO PRESIDENT, et l'écran soudain s'anime. Non seulement s'anime: il est parcouru d'une imagination si intense, si unique que je reste assis cent minutes sans jamais pouvoir m'en détacher. Je pense que Jack a réussi à produire dans ce film, cinquante, soixante, je ne sais combien d'années de mythologie, de symbiologie, etc. de l'écran. Il a distillé tout cela pour en extraire les images fondamentales de l'inconscient, et de la manière la plus subtile possible. Le film de Jack est un des titres de gloire du cinéma.» Jonas Mekas