Sur l’île d’Amorgos au bord des routes, des petits monuments ont été érigés sur les lieux d’un accident mortel : une photographie sous verre de l’accidenté, quelques mots, des fleurs, des objets religieux ou païens sont associés à la stèle. Ces monuments sont à l’abandon. Les défunts sont « restés-là » : morts en transit, sur une route, figés à jamais.