Sur les images d'un parc à Bruxelles en été, on entend des fragments du texte de Jean Genet "Quatre heures à Chatila". Par ce contraste simple et violent entre ce qui est vu et ce qui est dit, le film est une tentative d'arrêt, de halte dans l'information dont l'abondance neutralise l'horreur.Volx : Marc Liebens