Comme dans un voyage au milieu d'une ruine enfouie au fond de la mer, tout se réanime soudainement. Deux danseurs se livrent à une chorégraphie tantôt tourmentée, tantôt harmonieuse. La caméra qui se présente comme un troisième élément de cette étude de mouvement, vient se mêler aux pas des danseurs pour donner lieu à une véritable communion de la danse et de l'image, le temps d'un rêve, jusqu'à ce que l'eau reprenne possession des lieux.