Je reprends le texte de la scène du début du Mépris : l'énumération amoureuse du corps faite par Brigitte Bardot et Michel Piccoli. Je l'adapte à l'aide d'un langage 'créole' (français et dialecte libanais). Ce qui fragmente encore plus le corps, car les spectateurs francophones ne comprennent que quelques 'morceaux de corps' et les spectateurs arabophones les autres morceaux.