«Travelling avant vers un homme assis par terre, au fond d'une pièce vide, à l'abandon, éclairée seulement par une fenêtre. L'homme, pauvrement vêtu, et dont le visage est masqué par des bandelettes ou du carton-pâte, tousse. De sa bouche, seul orifice visible sur ce masque, sort, par jets, du sang, qui se répand sur sa poitrine et sur ses cuisses. Le toussotement, profond, viscéral - celui-là même de quelqu'un qui vomit, et ces déjections de sang, dont l'impact est accru par de nombreux gros plans, rendent ce film littéralement écoeurant.» Dominique Noguez.