« Il n'est pas question des fastes de Byzance mais de la chute de la ville par le sultan (1451-1453) et de son pillage. De lents travellings sur les ruines de la citadelle et ses remparts racontent cette perte et ce basculement de l'Orient gréco-latin à l'Orient musulman (…). Sur des images d'un bas-relief aux visages érodés par le vent et sur fond de cantique (un «Alléluia »), la voix conclut : « L'Europe s'aperçoit en frémissant que par sa sombre négligence une puissance envahissante a fait irruption chez elle, puissance qui paralysera ses forces pendant des siècles. »