Court métrage faisant partie intégrante du solo et monologue Body, Body on the Wall... (1997), mis en scène par Jan Fabre pour Wim Vandekeybus. Vandekeybus y interprète le rôle d'un danseur dont le corps est manipulé par une photographe pour une exposition pleine de vues imaginaires sur le corps. Enchaîné à deux microphones, Vandekeybus doit se laisser peinturlurer sans résistance par une femme, pendant que dans un flot de pensées tumultueux, ses parties du corps sont groupées suivant les différents systèmes du corps. Dans le film, on voit Vandekeybus danser, enfermé dans des toilettes. Tous les éléments aliénants du solo reviennent en version abrégée. Une démonstration visuelle de ce qui avait été évoqué auparavant dans le monologue.