"J'ai écrit Daymondes comme un journal, avec des images filmées dans Le Monde, au quotidien. J'ai déplié l'actualité pour tenter de la plier autrement, et me suis mobilisée face aux évènements. Me tenir au plus près, entrer dans l'image, lui insuffler une autre allure. Livrées à elles-mêmes, les images s'animent, essaient de vivre ensemble. Tous ces mondes, fragiles, cruels ou aimants s'attirent, se heurtent, se font écho.»