Panorama #8

Suite parlée, le désir d’un film à partir de monologues de Joël Brisse, le plaisir d’associer un texte et un acteur. Suite parlée : un personnage, une parole pour essayer de faire naître l’image, de créer la fiction. Il ou elle parle à la caméra. Le cadrage rappelle le portrait en peinture. L’espace derrière eux est indéterminé, abstrait. Chaque récit est une confidence, il s’agit toujours de quelque chose qui remue intérieurement, cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté. Suite parlée est l’envie de rendre hommage aux acteurs et, à travers eux, à l’intime. Parce que l’intime est un miroir aux antipodes de l’exhibition, il rend sensible à l’autre.

Ils parlent à la caméra. Chaque parole est une confidence, il s'agit toujours de quelque chose qui remue intérieurement, cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté.

Ils parlent à la caméra. Chaque parole est une confidence, il s'agit toujours de quelque chose qui remue intérieurement, cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté.

Ils parlent à la caméra. Chaque parole est une confidence, il s'agit toujours de quelque chose qui remue intérieurement, cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté.

Ils parlent à la caméra. Chaque parole est une confidence, il s'agit toujours de quelque chose qui remue intérieurement, cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté.

Il ou elle parle à la caméra. Chaque parole est une confidence, il s'agit toujours de quelque chose qui remue intérieurement, cruauté, jouissance, honte, désarroi, culpabilité, blessure enfouie, frustration, étrangeté.