Une douzaine d'adolescents japonais, six filles et six garçons dorment sur des futons colorés dans un sous-sol. Est-ce que ce sont eux qui rêvent cette grande structure de béton perdue dans la jungle ou bien, est-ce le bâtiment qui rêve ?
étant donné un poème de P. Dubost <i>Pour ne pas mourir </i>: un texte grave ponctué de pointes d'ironie, Isabelle Vorle lui associe des images travaillées comme des tableaux mouvants, déplaçant ainsi la tension entre gravité et ironie poétique du côté de l'inattendu.
Les conflits internationaux offerts par le prisme télévisuel me déposent au bord des champs de bataille, je tente de lire les signes bombardés mais mon effort de perception se met en place non sans continuellement vaciller pour finalement rendre les armes.