Souk Soukaz : Les années 80, fictions la fin des utopies

Une nuit de drague dans le Paris de la fin des années 70.

"Lamento pour la mort d'une mère, Maman que man évite, contourne la confidence, le souvenir, la nostalgie, bref, tout glissement verbeux vers dans la psychologie ou l'auto-analyse. Autour de la belle et tendre figure de Didier Hercend, ce sont des blocs intenses d'émotion, de fureur et de bruit qui se cristallisent ; des éclats impérissables nous assaillent : poignante apparition de Copi en alcoolique plein de stupeur et d'ennui, de Michel Cressol en folle de bar. Maman que man : le temps des blocs d'enfance, l'adieu aux enfants perdus, les hymnes baudelairiens à la mort : "c'est la mort qui console, hélas ! Et qui fait vivre..." mais dans la rage et la fureur, toujours imposée par l'écriture même et le style de l'invincible vitalité." René Schérer

Mini péplum post moderne.