"Devant une fenêtre, une feuille de plastique fonctionne comme un écran semi-transparent, se soulève et se rabat au gré du vent, découvrant et rendant abstrait un grand carrefour berlinois. Letravail de la caméra se combine à lla vision de celle frontière sensible entre intérieur et extérieur." (Hannes Schüpbach)
"Il est tard, je prends mon petit déjeuner dans une cour intérieure. Le soleil est déjà haut dans le ciel. Les ombres qui se forment autour de moi me fascinent. Il y a aussi la présence de notre chattigré avec sa nouvelle amie. Tous deux paressent comme moi, puis se mettent à se chamailler." Jan Willem van Dam a dit de ce film : "D 'habitude, je hais les films sur les chats, mais celui-ci me plaît beaucoup."
"A la fin d 'une marche contre le sida, les participants se dispersent dans Central Park. Commence une fêle agréable, avec un pique-nique et des concerts. J'observe l'humeur de ces gens complètement différents qui se sont rencontrés ici, dans cettechaleur, et qui se laissent peu à peu entrainer par la musique. J'observe en particulier une femme noire."
"Je pense que Arnulf Rainer est le film le plus proche de l'essence du cinéma qui existe, parce qu'il emploie les éléments qui constituent le cinéma dans leur forme la plus radicale et la plus pure. C'est la lumière et l'absence de lumière, c'est le son et l'absence de son, et leur événement dans le temps." (DominiqueNoguez)