Panorama #3

Un homme seul devant le miroir de son atelier, esquisse son autoportrait.

Mi-hippocampes, mi-Pégases, trois pécheurs chevauchent les vagues entre ciel et mer.

La violence existe, elle se rencontre partout, elle est, en soi nécessité organique. Du ventre de la mère jusqu'au mur de la cité, l'enfermement impulse le Cri. Ce désir de l'ouverture, entre les quatre coins, les quatre cordes, le Boxeur est de fait dans le ventre du monde. La défaite lui est interdite. Fuis la nuit regarde droit ce combat, et tente de placer le public dans la conscience même de cette violence.

Une femme revient sur les lieux de son enfance. Le village a disparu sous les eaux du lac. Seule subsiste la mémoire...