Artavazd Pelechian

Dédié au 50ème anniversaire de la Révolution d'Octobre.

"J'ai décidé de présenter l'histoire d'un peuple non pas en présentant les monuments du passé, mas en observant le présent, les gens d'aujourd'hui. J'ai cherche à exprimer le caractère intolérable de toute animosité nationale, de tout génocide. L'honneur d'une nation ne peut résider dans le massacre d'une autre nation. Cela concerne tous les peuples."

"Le film est construit sur l'idée d'une relation pleine d'humanité avec la nature et le monde animal. Il est question, bien sur, des agressions perpétrées par l'homme contre la nature, et de la menace que constitue la destruction de l'harmonie naturelle".

Un poème cinématographique : scènes de la vie campagnarde, scènes de travaux des champs, de transhumances, de fêtes.

Une méditation sur la conquête de l'espace. Pelechian procède à la mise en orbite d'un corps humain désorienté, pris dans turbulence de la matière. Là, il n'y a plus rien d'humain, rien de seulement humain où les éléments font retour. Pas l'homme dans le cosmos mais le cosmos dans l'Homme.